Le 2 décembre, des jeunes vivant à la rue ont planté leurs tentes devant le Conseil d’Etat. En attente d’une décision du juge quant à leur minorité depuis plusieurs semaines voire plusieurs mois, ils et elles ne se sont pas vu·e·s proposer de solution d’hébergement. Si une mise à l’abri a été effectuée le 7 décembre, Delphine Rouilleault a analysé dans un thread Twitter cette situation indigne, autant que complexe, amenée à se répéter si des solutions durables ne sont pas proposées.
Aujourd'hui, les mineur·es isolé·es étranger·ère·s doivent souvent faire face à une grande précarité. Or ils et elles sont avant tout des enfants rendu·es particulièrement vulnérables par leur parcours.
Pour appeler la France à garantir le respect de leurs droits fondamentaux et de la présomption de minorité, France terre d’asile a lancé une campagne aux côtés de La Cimade, Amnesty International France, Oxfam France, WATIZAT et Ecole pour Tous. Participez en signant notre pétition qui a récolté déjà plus de 12 000 signatures !
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