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Le Sommet, qui s’est déroulé à Charm El-Cheikh, en Egypte, les 24 et 25 février, s’est achevé avec la publication d’une déclaration commune dans laquelle les Etats ont réaffirmé la nécessité de régler les « causes profondes » de la migration, en renforçant la lutte contre la migration illégale, les réseaux de passeurs et en éradiquant le trafic d’êtres humains.
© Commission européenne
À l’été 2018, les dirigeants européens avaient en effet envisagé la création, en Egypte notamment, de « plateformes de débarquement » pour y transférer les migrants secourus en Méditerranée. Cette proposition a été refusée à nombreuses reprises par les pays africains sollicités, comme le confirme un document de l’Union africaine, dont le contenu ayant fuité a été repris par plusieurs journaux, dont le quotidien britannique Le Guardian, et Le Monde. Le projet européen y est décrit comme contraire aux lois internationales, correspondant au « prélude à l’établissement de centres de détention » et comme « violant la souveraineté des Etats africains ».