Née de la collaboration entre le Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden (MACAAL) de Marrakech et le Musée national de l’histoire de l’immigration à Paris, l’exposition Ce qui s’oublie et ce qui reste explore la notion de transmission à travers les œuvres de dix-huit artistes du continent africain et de ses diasporas.
Des récits intimes à une perspective historique large, elle associe héritages et circulations et aborde les questions de frontières et de migrations, de liens entre générations, d’histoire et de mémoire de part et d’autre de la Méditerranée et au sein du continent africain. Peintures, tissages, sculptures, vidéos, installations, performances, parmi lesquelles des commandes réalisées auprès d’artistes représentatifs de la vitalité de l’art africain, s’attachent autant aux échanges qu’aux ruptures, à ce qui est oublié, omis, rendu invisible.
A découvrir au Musée national de l'histoire de l'immigration, à Paris, jusqu'au 29 août 2021, ou à visiter virtuellement sur le site du musée.