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Publié le : 19/05/2010
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A l’occasion du 20ème anniversaire de sa création, le CEDRE (Centre d’Entraide pour les Demandeurs d’asile et les REfugiés), antenne du Secours Catholique, ouvre ses portes le mardi 22 juin 2010 et vous invite à participer aux nombreuses activités animées par les personnes accueillies et en présence de François Soulage, président du Secours Catholique :
Découverte et initiation aux langues des accueillis : tamoul, bengâli, etc.
CEDRE - Antenne du Secours Catholique - Réseau mondial Caritas
23 bd de la Commanderie - 75019 Paris
01.48.39.80.74
Une exposition organisée par Amnesty International présente à Paris plus de cent photographies sur les violations des droits humains à travers le monde.
105 photographies. En couleurs ou en noir et blanc, elles racontent les manquements aux droits humains à travers le monde et la pauvreté qui en découle. Derrière ces témoignages, cinq regards, ceux des photographes du collectif L'Oeil public, dissous aujourd'hui.
Pour l'ONG Amnesty International, qui a lancé en mai 2009 une campagne mondiale pour la défense des droits humains, ces photographes engagés ont parcouru le Nigeria, le Mexique, l'Egypte, l'Inde et la Macédoine.
Ils montrent chacun à leur manière des populations en proie à des situations d'extrême pauvreté, privés de leurs terres, de logements, d'eau courante et d'électricité.
Hôtel de Ville de Paris (4ème arrondissement)
Première destination des migrations internationales, l’Europe peine à accepter la diversité ethnique et culturelle au coeur de son identité : débats et projets de loi sur le niqab en France ou en Belgique, diagnostic de crise du multiculturalisme aux Pays-Bas ou en Grande-Bretagne... La diversité culturelle mettrait à mal le « vivre ensemble » des Européens. De l’autre côté de l’Atlantique, si l’histoire américaine est une histoire d’immigration volontaire (européenne ou asiatique) ou involontaire (africaine), l’immigration récente – et particulièrement l’immigration hispanique – a bouleversé les relations traditionnelles entre groupes ethniques, longtemps définis à partir d’un clivage entre « Blancs » et « Noirs ». De plus, la politique migratoire des États-Unis est aujourd’hui essentiellement orientée vers la lutte contre l’immigration régulière. Pour comprendre ces défis – et pouvoir mieux y répondre –, une approche comparative s’impose : à l’heure où l’on s’interroge sur l’efficacité du modèle français de la République, comment dépasser les idées reçues sur les politiques d’intégration conduites ailleurs en Europe et aux États-Unis et considérer autant leurs limites que leurs aspects positifs ? Colloque international organisé par Christophe Bertossi (IFRI) et Nancy Foner (CUNY), avec le Collegium de Lyon, le Social Science Research Council, l’Agence nationale de la Recherche et le Réseau français des instituts d’études avancées. Autres intervenants : Richard Alba (CUNY), Erik Bleich (Middlebury College), John Bowen (Université Washington à Saint-Louis), Éric Fassin (École Normale Supérieure), Gary Freeman (Université du Texas à Austin), Leo Lucassen (Université de Leiden) et Patrick Simon (INED). |
2010 est résolument l’année de l’Afrique du Sud puisqu’elle correspond à deux manifestations de taille : l’anniversaire des 20 ans de la libération de Nelson Mandela et le déroulement de la Coupe du Monde de football, une première dans un pays africain. Le Parc de la Villette a donc décidé de ne pas rester en marge et propose, du 11 au 30 mai 2010, de mettre un coup de projecteur sur la scène artistique sud-africaine. Le but : « témoigner de la richesse, de la diversité, des différentes langues, des traditions comme de la relation à la modernité de ce grand pays en passe de devenir un acteur majeur de la scène économique et politique mondiale » indique le programme de présentation.
Ainsi, les spectateurs pourront découvrir la première française de Foreplay du jeune metteur en scène « le plus doué de sa génération ». (...)
En République Démocratique du Congo (RDC), une décennie de conflits armés a laissé un pays exsangue. Aujourd’hui encore, la population souffre au quotidien des conséquences de ces conflits, de maladies, malnutrition, sous-développement mais aussi du fait des violences meurtrières qui se poursuivent. En 2006, la République Démocratique du Congo s’était finalement engagée dans un processus de restauration politique passant par l’organisation des premières élections démocratiques.
Un processus de réconciliation politique, fondé sur une large impunité des principaux acteurs des conflits, a rapidement entravé la reconstruction du pays. Ce handicap s’est trouvé aggravé par l’échec de la démobilisation des miliciens et celui de la constitution d’une armée nationale nouvelle, fondée sur le brassage des anciens groupes armés.
C’est surtout dans l’est du Congo, en Ituri et au Kivu, régions regorgeant de richesses minières, frontalières de l’Ouganda et du Rwanda, que la situation était et reste la plus dramatique et la plus meurtrière.
En 2007, 437 000 personnes ont dû fuir leurs villages à cause des combats, des viols, de l’enrôlement forcé d’enfants et des exactions perpétrées par toutes les parties. Les accords de paix de janvier 2008 n’ont rien changé. Les civils sont toujours les premières victimes et les groupes armés ainsi que les militaires congolais continuent à exploiter illégalement les ressources naturelles et à se servir des profits engrangés pour alimenter le conflit.
L’exposition présentera également des images du secteur minier au Katanga, de la descente sur le fleuve Congo et de la culture populaire à Kinshasa.
Une aventure humaine plus qu'une exposition. Tout est parti du constat de Jean-Claude Gal, directeur artistique du théâtre du Pélican de Clermont-Ferrand : le vêtement est la représentation esthétique d'un peuple. Or, certaines pratiques sont vouées à disparaître. Une perte d'identité accentuée par l'exil. Il a voulu sensibiliser la jeunesse à ces questions autour d'un projet : confectionner des costumes inspirés par les traditions du monde entier, en particulier l'Orient et l'Asie, en les revisitant. Le musée Bargoin, spécialiste du textile, a décidé d'y participer en vue d'une exposition et d'un défilé. Il a même choisi de les conserver dans sa collection permanente.
Lire l'article en entier
Jusqu'au 19 septembre. Musée Bargoin, Clermont-Ferrand. Ouvert du mardi au samedi de 10 heures à 12 heures et de 13 heures à 17 heures, le dimanche de 14 heures à 19 heures. 04.73.42.69.70. Tarif : 5 euros. Défilé au jardin Lecoq, les 18, 19 et 20 juin à 22 heures. Entrée gratuite.
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Cette exposition invite à la découverte des musiques venues d'ailleurs. Exil, transmission et métissage sont au cœur de ce voyage 'inoui".
Les musiques traditionnelles et populaires participent à la richesse culturelle des communautés et des territoires. Cette exposition appelle à la découverte de la diversité des pratiques musicales, souvent méconnues, qui composent le paysage sonore de la ville. Fruit d'une collaboration de deux annnées entre le Rize et le CMTRA (Centre des musiques traditionnelles Rhône-Alpes), cette exposition invite à un voyage à travers les univers musicaux des habitants de Villeurbanne. Au Rize, du 10 juin au 2 octobre 2010
Entrée libre du mardi au samedi de 12h à 19h. Le samedi de 17h à 21h.
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"C'est l'histoire d'une promesse tenue du photographe REZA à son fils, de partir tous les deux autour du monde. La première étape de ce voyage initiatique les a entraînés sur la mythique route de la soie, de Pékin à Paris."
« Photographe pour National Geographic Magazine, humanitaire dans l’âme et dans les actes, ma passion m’a guidé vers la formation des femmes et l'éducation des enfants dans le monde. En tant que père, ma fierté est de pouvoir transmettre ces valeurs à mes propres enfants. D'aussi loin que je me souvienne, je revois mes parents murmurer à leurs enfants des poèmes et des légendes défendant la liberté et la justice. Aujourd'hui, les parents, accaparés par ce monde trop pressé, entendent-ils vraiment leurs enfants, transformés en murs-écrans ? Incompréhensions réciproques. Les générations doivent continuer à se regarder, se parler, se rencontrer. Pour, qu'à l'ère de l'utra-communication, ce repli humain ne vienne pas à bout de notre civilisation. » REZA
Découverte de l'exposition le 27 avril 2010, de 15h à 22h, en présence de REZA.
Lieu: Gare Luxembourg RER B, à Paris
"Les grands pays donnent aujourd’hui volontiers au monde des leçons de paix et de démocratie après avoir provoqué deux guerres mondiales et pillé pendant des siècles, sous la bannière du colonialisme triomphant, la moitié du monde.
Nous pensons souvent à tort que nos modèles de sociétés sont « naturellement bons ». Nous pensons que notre échelle du temps est la même sur tous les continents. Nous regardons les autres à travers le prisme sans doute réducteur de nos cultures, de nos rêves et malheureusement le plus souvent de nos intérêts.
Nous vendons des armes, nous encourageons des régimes corrompus, nous mondialisons nos propres modèles de sociétés et nous consommons au-delà de ce que la planète pourra longtemps supporter.
Qui est-ce « nous » ?
Cette exposition permanente est là pour « nous » montrer que, parmi « nous » , certains prennent des risques avec pour seules armes un crayon, un feutre et une gomme : risque de braver les puissants, risque de la mise à l’index ou de la fatwa, risque de la prison, risque de se tromper, risque de penser autrement, risque d’être menacé de mort et parfois éliminé.
Les dessins présentés racontent chacun à leur manière un bout de notre histoire et nous renvoient à nos responsabilités individuelles et collectives.
Bienvenue dans un monde d’opinions libres, dérangeantes et … contraires !"
10 recommandations pour l’accueil d’un jeune mineur étranger
Pour lutter contre l’exploitation de jeunes étrangers dans le monde du football, l’Union des clubs professionnels de football, présente les 10 recommandations pour l’accueil d’un jeune mineur étranger dans un club français.
En unissant la recherche académique et l´engagement associatif, cet ouvrage entame une profonde réflexion sur un thème d'actualité : la question des flux migratoires et leur gestion politique. Douce France présente le fruit d´un travail collectif de chercheurs, de spécialistes et de juristes qui ont choisi de mettre leurs compétences professionnelles au service de leur engagement citoyen pour dénoncer des politiques et des pratiques qu'ils considèrent indignes et inacceptables. Les auteurs s’accordent pour entrevoir dans la gestion politique des migrations une nouvelle forme de domination exercée par les pays occidentaux sur des pays et des populations moins puissants, s’apparentant à un type de néocolonialisme en temps de néolibéralisme. Les analyses sont essentiellement axées sur la construction de ces politiques et leurs conséquences sur le territoire français. Il aurait cependant pu être intéressant d’élargir les perspectives vers une compréhension du phénomène migratoire dans sa globalité en insistant davantage sur les causes de déplacements et, surtout en l’inscrivant comme un élément à part entière de la globalisation des échanges politiques et économiques. Au delà de son intérêt dans la compréhension des politiques migratoires, ce livre constitue un outil méthodologique de qualité pour qui s´intéresse à la transcription sociale du politique Douce France. Rafles, rétentions, expulsions, un ouvrage collectif sous la direction de Olivier Le Cour Grandmaison, Edition Seuil |
Le catalogue permet d'identifier et de localiser les sources sur l'histoire de l'immigration en France de 1800 à nos jours : archives, manuscrits, affiches, périodiques, iconographie, documents sonores et audiovisuels… Ces sources sont conservées dans le réseau des Archives et des bibliothèques publiques, dans les médiathèques, cinémathèques, photothèques, musées ou encore chez des personnes physiques ou morales.
Contact : Génériques
34 rue de Cîteaux, 75012 Paris
01 49 28 57 75
www.generiques.org ou www.generations-lexpo.fr ou http://odysseo.org
Réalisés par Thomas Lacoste
Avec Etienne Balibar, Robert Castel, Patrice de Charette,
Christophe Dejours, Charles Piaget et Renaud Van Ruymbeke
Les entretiens réunis par La Bande Passante reviennent sur ce qui est bien « la » question sociale, aujourd'hui comme hier : le travail. Cette série d'entretiens croise les regards du philosophe, du sociologue, du psychologue, du juriste, etc.
Textes de Véronique Mougin, photographies de Pascal Bachelet
Un formidable livre d’enquête et de témoignages sur les familles sans-logis.
Parution en novembre 2009 aux éditions pascal Bachelet.
132 pages – 134 photos - 29 euros
Cet ouvrage est un manifeste rédigé en 1928 par Janusz Korczak, considéré comme le père spirituel de la Convention internationale des droits de l’enfant. La grande qualité de ce texte est de faire réfléchir les adultes sur le regard qu’ils portent sur les enfants et la jeunesse et de les amener à comprendre tout l’intérêt qu’ils auraient à leur faire plus confiance et à bien respecter leurs droits. Avec force et non sans humour, l’auteur s’adresse ici, avec un argumentaire absolument inégalé, aux parents, aux éducateurs, aux politiques et aux décideurs pour secouer les consciences et les interpeller sur leurs< responsabilités vis-à-vis des enfants. Il invite les adultes et les institutions à faire évoluer leur regard et leurs pratiques. En questionnant l’évolution des attitudes et des mentalités, il sensibilise et informe ses lecteurs sur les droits de l’enfant d’une façon beaucoup plus impliquante que les approches habituelles, intellectuelles, juridiques ou victimologiques.
L’ouvrage sortira à un moment fort sur le plan médiatique avec de nombreux colloques et manifestations qui se référeront à l’oeuvre de Janusz Korczak au moment de faire le bilan de la Convention internationale des droits de l’enfant, à l'occasion de la journée internationale du 20 novembre 2009.
La publication de ce texte complet, avec ses deux protocoles supplémentaires (sur les enfants soldats et l’exploitation sexuelle des enfants), le texte de la Convention internationale des droits de l'enfant et toutes les adresses utiles, répond parfaitement aux attentes et il sera apprécié des professionnels et des institutions comme un ouvrage de référence. Mise en vente du 12 novembre 2009 |
Ouvrage écrit sous la direction d'Alain Maillard
aux éditions l'Harmattan
L’immigration constitue un sujet qui se retrouve périodiquement sur le devant de la scène publique. Cependant, le manque de connaissances et les préjugés nuisent souvent aux débats. Une plongée dans un espace défini – la Picardie – et une appréhension des processus dans la durée – depuis le milieu du XIXe siècle – permettent de mieux comprendre, sous des angles variés, ce qui caractérise
vraiment les phénomènes migratoires.
Cet ouvrage collectif fait suite à une enquête régionale commanditée par l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances et à un colloque, tous deux organisés par une équipe de chercheurs de l’université de Picardie Jules-Verne (laboratoire Habiter-processus identitaires-processus sociaux).
Étranger indésirable, pour un jour ou pour toujours, le Sans-papiers est un mythe qui participe aux fondements culturels d’une nation. Avec ses héros, ses luttes glorieuses et ses épisodes dramatiques, le mythe du Sans-papiers renvoie à des enjeux politiques, sociaux et symboliques fondamentaux : qu’est-ce que mener une vie à la fois ordinaire et non-officielle ? Comment le Sans-papiers et l’État s’accommodent-ils, chacun, du légal et de l’illégal, jusqu’à la régularisation, acte de quasi-transsubstantiation par lequel l’État transforme l’inconnu en connu, l’innommable en nommable, l’officieux en officiel ?
La liberté de circulation, le droit de vivre auprès de ceux que l'on aime ou de gagner sa vie sont-ils réservés aux habitants des pays riches ? La question peut paraître incongrue en 2008, tant l'idée de l'universalité des droits de l'Homme a fait son chemin. Pourtant, force est de constater que la politique d'immigration française - et désormais européenne - conduite depuis trente ans a fait régresser à bien des égards la condition des migrants. Combien de familles empêchées de rejoindre leurs proches ? Combien de demandeurs d'asile refoulés ? Combien de personnes vivant et travaillant en France depuis des années reconduites à la frontière?
Palais de la Porte Dorée - Cité nationale de l'histoire de l'immigration
Au cours des dernières décennies, les frontières du territoire français se sont refermées pour celles et ceux, désormais indésirables, en provenance des pays non communautaires, qu'ils soient travailleurs, étudiants, demandeurs d'asile, enfants ou conjoints d'étrangers. Mais parallèlement à ce phénomène d'autant plus manifeste qu'il est devenu objet de surenchère politique, d'autres frontières moins visibles se sont constituées à l'intérieur de l'espace national. Raciales, ethniques ou religieuses, elles définissent des lignes de partage que la reconnaissance tardive des discriminations et la montée de revendications minoritaires ne permettent plus d'ignorer. Longtemps pensées séparément, les unes à travers la « question immigrée », les autres en termes de « racialisation », ces frontières extérieures et intérieures sont étroitement liées, tant dans les histoires familiales que dans les discours publics. Résultat de quatre années d'enquêtes menées par une équipe de sociologues, anthropologues, historiens, politistes, juristes, psychiatres et psychanalystes, cet ouvrage met au jour les transformations contemporaines des identités et des altérités dans la société française.Les nouvelles frontières de la société française, de Didier Fassin, février 2010, édition La Découverte |
Kazimir Zgorecki. Façade d’une boucherie épicerie polonaise. Années 1930 © Musée national de l’histoire et des cultures de l’immigration Dès 1830, Paris devient la 2ème capitale de la Pologne, s’y installent alors, une partie de l’intelligensia polonaise, artistes, scientifiques, intellectuels... Quelques décennies plus tard, ils seront rejoints par une autre immigration : les mineurs polonais qui viendront travailler dans les bassins miniers.Cette exposition évoquera ces différentes figures et les lieux où cette histoire s’est écrite.
Palais de la Porte Dorée
293, avenue Daumesnil
75012 Paris
L'Association francophone des commissions nationales des droits de l'Homme (AFCNDH) est heureuse de vous présenter son guide de l'enseignant(e) pour l'éducation aux droits de l'Homme dans l'espace francophone) intitulé : "L'éducation aux droits de l'Homme : comprendre pour agir ensemble".
Ce guide est l'aboutissement d'un travail approfondi et d'une collaboration d'auteurs remarquables:
- Amina Lemrini, Conseil consultatif des droits de l'Homme (Maroc)
- Marc de Montalembert, Commission nationale consultative des droits de l'Homme (France)
- Nicole Pothier, Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec (Canada)
- Saliou Sarr, Comité sénégalais des droits de l'Homme
Coordination: M. Albert Sasson, Conseil consultatif des droits de l'Homme (Maroc)
Jacques RIBS, L'Occident chrétien et la fin du mythe de Prométhée |
Editions l'Harmattan Deux conceptions sur la place de l'homme dans l'univers s'opposent : une vision de la Création offerte à l'Homme par le Dieu unique s'impose en premier lieu. L'individu était écrasé et son pouvoir démiurgique verrouillé afin d'éviter le courroux de l'Invisible. Puis naquit un mouvement qui, au fil des siècles, permit à l'individu prométhéen de briser ses chaînes ancestrales et de s'affirmer sur les plans religieux, politique et économique. Mais aujourd'hui, la puissance de l'homme, si elle n'est pas rigoureusement contrôlée, risque de brûler le monde. |
211, avenue Jean Jaurès,
5019 Paris
Tél. : 01 40 03 75 75
Christophe JAFFRELOT et Christian LEQUESNE (dir.), L'Enjeu mondial. Les migrations |
Les presses de Sciences Po L'accélération de la mondialisation, la circulation des capitaux, internet et les technologies de communication, l'émergence et l'urbanisation des pays du Sud, le vieillissement des pays du Nord, l'instabilité et les crises politiques, mais aussi le changement climatique, donnent une ampleur sans précédent aux migrations et aux mobilités humaines qui ne cessent d'augmenter et de se diversifier, soulevant de nombreux débats dans les pays de départ comme dans les pays d’accueil. Global et massif, le phénomène migratoire justifie la recherche de nouvelles formes de gouvernance au niveau mondial. L’Enjeu mondial en propose une analyse en cinq volets thématiques : 1) l’évolution récente des migrations internationales ; 2) les migrations intérieures, qu’elles soient libres ou forcées ; 3) un Sud, terre de migrations ; 4) un Nord, entre rejet et intégration ; 5) et enfin, les diasporas et leur utilité pour les pays d’origine. Sous la direction de Christophe Jaffrelot et de Christian Lequesne, directeur du CERI (Centre d’études et de recherches internationales de Sciences Po), avec la collaboration des meilleurs spécialistes, L’Enjeu mondial se propose d’éclairer l’un des grands enjeux mondiaux contemporains, combinant analyses et cartographie inédites. Ont contribué à cet ouvrage : William Berthomière - Didier Bigo - Jean-Marie Bouissou - David Camroux - Rémi Castets - Fred Constant - Anne Daguerre - Dominique Daniel - Chloé Froissart - Jean-Jacques Gabas - François Gemenne - Souley Hassane - Bertrand Hervieu - Riva Kastoryano - Smaïn Laacher - Thomas Lacroix - Emmanuel Ma Mung Kuang - Jean-Baptiste Meyer - Christian Olsson - Sébastien Peyrouse - François Purseigle - Évelyne Ritaine - Daniel Sabbagh - Sylvain Souchaud - Catherine Teitgen-Colly - Ingrid Therwath - Vincent Tiberj - Anne de Tinguy - Michèle Tribalat - Aurelia Wa Kabwe-Segatti - Catherine Wihtol de Wenden - Aristide Zolberg |
LITTÉRATURE ROMANS, NOUVELLES AFRIQUE NOIRE MAGHREB, MONDE ARABE, MOYEN ORIENT ASIE EUROPELes éditions l'Harmattan C'est l'histoire d'Hamid l'Afghan, Sergueï le Russe, Amadou le Mauritanien, Massoud le Kurde, Alpha le Guinéen, Alasha la Nigériane, Andrée la haïtienne... En quelques jours, ces personnes tombent dans le piège de la guerre, du racisme, des groupes mafieux. Elles doivent fuir leur pays et demandent l'asile politique en France. Des soupçons pèsent sur ces personnes depuis la disparition brutale d'un juge chargé de décider de leur sort en France. Et si l'un de ces requérants, souvent confrontés à la violence, avait eu recours à un enlèvement ? Ce livre est un ouvrage de docu-fiction par les faits rapportés (il s'inspire de cas réels). |
Jean-Marie Ngazuba retrace l'histoire des six cents Darfouris qu'il a accueilli à Arras dans son livre, sorti cette semaine. Il a accueilli six cents réfugiés Darfouris à Arras. Durant quatre ans, le pasteur évangéliste Jean-Marie Ngazuba, les a aidés à se loger, à se soigner, à se nourrir, à s'intégrer. Il s'est passionné pour leur histoire : Du Darfour à Arras. Il en a fait un livre, sorti cette semaine aux éditions Bénévent. Une histoire qui entre en résonance avec la sienne, immigré Congolais, d'abord débouté dans sa demande d'asile. « Pour nous, tu es un Juste même si tu n'as pas le Nobel de la paix ! Voilà ce qu'ils m'ont dit, mes Darfouris. » La tête penchée, Jean-Marie Ngazuba laisse éclater son rire franc. S'y mêlent des larmes d'émotion. Flanqué de son éternel chapeau en feutre mou et de sa canne en bois torturé, le pasteur a chaud au coeur. Il n'a pas eu le prix Nobel. Mais, sous ses airs de pèlerin déjanté, juste bon samaritain, il a le sentiment du devoir accompli. « C'était ma mission » Dit-il en tenant son livre, Du Darfour à Arras . Une mission ? Accueillir six cents réfugiés du Darfour. Ses Darfouris, comme il dit. Et laisser une trace de leur passage à Arras à travers ce livre. |
Du Darfour à Arras, de Jean-Marie Ngazuba, éditions Bénévent, février 2010
Des papiers pour nos mamans est un joli livre pour enfants ayant pour vocation l'apprentissage de la tolérance et de l'ouverture à l'autre, pour mieux vivre ensemble.Il est destiné aux enfants de 2 à 7 ans. A travers la découverte gourmande de quelques plats du monde, il s'agit de stimuler la curiosité intellectuelle vis-à-vis des goûts, couleurs et cultures venus d'ailleurs, au-delà des clichés et préjugés . Des papiers pour nos mamans se veut également engagé en faveur du droit à mener une vie familiale normale pour les parents immigrés. |
La Mer noire raconte l’histoire sur cinq générations (et oui il y a aussi des arrières petits enfants qui traînent dans le récit) d’une famille de réfugiés géorgiens débarquée en catastrophe en 1918 à Leuville-sur-Orge, la Mecque de la communauté géorgienne en région parisienne. A l’heure du nombrilisme identitaire national où on se récure l’ombilic pour le rendre le plus propre (le plus pure ?) possible, on peut se demander si Kéthévane Davrichewy raconte seulement l’exil de ce couple de Géorgiens et de leur deux filles Tamouna et Théa ou, tout simplement, l’histoire, sur près d’un siècle, d’une famille… française. La diversité française, la diversité de sa population et de ses trajectoires, réfractaire à tout slogan de tribune, pointe ici le bout de son nez pour fermer le bec aux dispensateurs autoproclamés d’AOC identitaires.
Mais ce roman de la migration est aussi un roman français tant il est sûr que bien peu d’histoires nationales et de peuples n’échappent à l’irrigation d’un « sang impur » venu d’ailleurs, un « sang impur » qui abreuve les sillons de la terre de France aussi profondément que celui des roturiers et autres descendants de Gaulois (qui venaient d’ailleurs eux aussi) dont parle la chanson. La chronique familiale ici rapportée parle de mariages, de divorces, de remariages, d’unions mixtes avec un grec ou une arménienne, d’enfants et de réussite professionnelle, des nouvelles générations installées dans leur environnement et leur temps, sensibles aux luttes des Sans-papiers et qui titillent leurs aînés gagnés par une frilosité certaine pour les nouveaux migrants… La mort a déjà emporté bien des Anciens. Quant aux survivants, ils vieillissent. Si elle n’a pas déjà claqué la porte, la vie se retire sur la pointe des pieds, laissant les corps fragiles et les êtres déjà absents : « mourir dans son sommeil, c’est ce qu’elle préfèrerait. Mais tenir jusqu’à l’été. Sentir encore sa chaleur, son parfum sur la peau ».Lire la suite La Mer noire, de Kéthévane Davrichewy, édition Sabine Wespieser, 2010 |
Il débute son requiem sur l'intolérance par une poésie de Juliette Gréco… A toi, Un hommage, une reconnaissance de ses pairs, fait au rappeur poète Abdel Al Malik converti en islam par le truchement de la Tarika Soufi BOUTICHIA. La guerre des banlieues n'aura pas lieu signe l'entrée d'Abd Al Malik dans la galaxie littéraire. Tel Aimé Césaire dans son "Cahier d'un retour au pays natal", il s'y engage « debout et libre ». Comme le Rimbaud des "Lettres du voyant", il s'y conduit en « travailleur de la poésie ». À la fois visionnaire et paisible, il lance à la façon de Martin Luther King : « "I have a dream !" » Il finit sur ces quelques mots: "Comprenez bien," insiste Abd Al Malik, "un message de paix dans les banlieues est un message universel". Abd Al Malik, Essai (broché), février 2010 |
Guerres, occupations, répressions politiques et crises économiques ne cessent de semer, partout dans le monde et notamment dans les pays en développement, misère, chômage et bouleversements des modes de vies, ouvrant la porte aux émeutes, à l’immigration ou à la mort. Comment peut-on dès lors croire que face à tels désastres les ressortissants des pays du Sud ne tenteraient pas de trouver dans les pays du Nord ce qui leur permet de survivre ? Même si c’est au risque de leurs vies, parfois en traversant les mers sur les embarcations de fortune, et en dépit des mesures draconiennes prises par les pays développés pour stopper les flux migratoires ! Si l’immigration est enrichissante en soi, puisqu’elle permet de mettre en relation des espaces, des peuples et des cultures, elle est tout autant difficile à vivre et à plus forte raison dans de telles conditions. Ce livre, qui se veut une lecture psychologique de la trajectoire migratoire tout autant qu’un témoignage engagé, vise au-delà et adresse un cri du cœur à l’attention des décideurs des pays de départ et d’arrivée, le message qu’il n’y a pas de solutions individuelles à l’écart du destin collectif et que l’on ne peut pas assurer sa sécurité en tournant le dos à celle des autres. Violette DAGUERRE est née au Liban et vit en France depuis les débuts de la guerre dite civile qui a ravagé son pays d’origine. Docteur en psychologie sociale et psychologue clinicienne, elle a enseigné cette discipline. Elle a milité en même temps pour les droits humains, surtout depuis qu’elle préside la Commission arabe des droits humains qu’elle a contribué à fonder. Elle a également écrit des livres et rédigé des rapports et des articles sur des thèmes aussi variés que le confessionnalisme, le crime d’agression, les sanctions économiques, le droit à la santé, la situation des femmes et des groupes vulnérables, et ce notamment dans la région du Proche et Moyen Orient et d’Afrique du Nord. L’immigration : problématiques et défis, de Violette DAGUERRE, éditions du Cygne, février 2010 |
Partout sur notre terre, de la mégalopole la plus moderne, à l’oasis la plus retirée, de nombreux enfants s’endorment au doux rythme d’une berceuse fredonnée par une maman, un papa, une grande sœur, un grand frère, ou encore une nourrice… Contenu : - 26 berceuses du monde pour s’endormir ou voyager, |
A l’occasion de la Coupe du monde de Football 2010, une exposition pour s’interroger sur la relation entre l’immigration et le football. Présentation En coproduction avec le musée national du sport, la Cité nous interroge sur les relations entre le football et l’immigration à travers plusieurs générations de joueurs. Zinedine Zidane, Michel Platini, Roger Piantoni, Larbi Ben Barek, Raymond Kopa... Dès les années 30, l’équipe de France de football compte nombre d’immigrés ou descendants d’immigrés. Comment sont-ils vus par l’opinion publique, les médias, les supporters ? En quoi la composition des équipes reflète-t-elle l’histoire de la constitution de la population française ? Depuis la célèbre équipe de 1958, héritière des migrations de l’entre deux-guerres, jusqu’aux champions du monde "black blanc beur" de 1998, appréhendez comment la sélection nationale et les équipes amateurs ont contribué à légitimer la réalité du creuset français. |