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Il est nécessaire de renforcer les capacités d’identification de ce public vulnérable, afin de lui permettre de bénéficier de voies de migration légale. Cela passe par un repérage des mineurs sur les points d’entrée en Europe, d’un examen de leur situation et de leur vulnérabilité, puis d’un mécanisme leur permettant de rejoindre leur pays de destination.
De même, afin d’éviter leur mise en danger sur des voies migratoires périlleuses, un système de réunification familiale vers l’Europe des mineurs isolés dans leur pays d’origine devrait être développé.
Préambule reconnaissant l’importance de la coopération internationale pour l’amélioration des conditions de vie des enfants dans tous les pays, en particulier dans les pays en développement
Les pays de l’Union européenne comptent sur des dispositifs nationaux d’évaluation et prise en charge des MIE très différents en termes de moyens, organisation institutionnelle, fondements juridiques et effectivité de la mise en œuvre. Certains pays organisent l’accueil des MIE autour de leur dispositif de protection de l’enfance, comme la France, d’autres comptent sur les organismes relevant de la demande d’asile, comme l’Allemagne.
La coopération entre pays est quasiment inexistante, à l’exception de certaines initiatives réduites dans leur temporalité et le nombre de jeunes bénéficiaires, tel que le projet de réunification familiale et l’accueil de jeunes migrants isolés et vulnérables (sur le fondement de l’amendement dit « Dub’s ») en Angleterre.