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Paris, le 5 décembre 2019
Dans un avis publié le 18 juin 2018 sur la situation à la frontière italienne, la CNCDH* s’est penchée sur ce qu’elle nommait alors « les nombreuses violations des droits fondamentaux lors du passage de la frontière, sur l’accès à une protection internationale au titre de l’asile, sur le non-accueil comme politique assumée par les autorités ». Elle attirait en outre l’attention des pouvoirs publics sur la situation particulièrement préoccupante des mineurs non accompagnés ainsi que des victimes de traite des êtres humains.
A l’initiative d’Amnesty International France, de La Cimade, de Médecins du Monde, de Médecins sans Frontières et du Secours Catholique-Caritas France, un collectif d’associations a publié un communiqué et entamé des actions pour réclamer une commission d’enquête parlementaire sur les atteintes aux droits fondamentaux survenant à nos frontières.
France terre d’asile souhaite le plus strict respect des dispositions prévues par la loi et alerte sur les interprétations volontairement restrictives, voire erronées, qui en sont faites, au détriment des droits des personnes migrantes. Elle apporte son soutien et s’associe à la demande des associations de création d’une commission d’enquête parlementaire.
Thierry Le Roy, Président de France terre d’asile, Pierre Henry, Directeur général de France terre d’asile
*Commission nationale consultative des droits de l'Homme